Encore du Lili…

Encore du Lili tout craché.

Ce matin sa super chronique sur Claude Bal a été rectifiée : le bon éditeur des premiers poèmes, la référence à un autre site généanet (mais il en manque toujours un, peut-être le principal) et disparition de l’étalement prétentieux sur le comment et le pourquoi ne pas se servir d’une liseuse parce que je n’en connais pas le moindre bout. Et puis cette savoureuse information : elle a envoyé son article à la famille. Si c’est vrai, qu’est-ce qu’ils ont dû se marrer en lisant la pauvre prose, limite vulgaire, de la Big One Lili.

Bon. Mais pourquoi les enfants, je reviens la dessus ? Oui, pourquoi ?

Parce qu’ après les erreurs , il n’y a aucune reconnaissance de ces erreurs , aucune demande d’excuse d’avoir trompé les lecteurs. Tout est bricolé de manière à faire croire qu’il n’y avait pas eu d’erreurs. Et c’est bien ça la malhonnêteté. Malhonnêté intellectuelle. Malhonnêteté que bien des journalistes de basse catégorie utilisent à gogo. Et c’est peut-être par cet usage répétitif qu’elle finit par se croire journaliste. Allez donc savoir….

C’est comme un bras d’honneur fait à la communauté. Exactement celui qu’elle nous flanque de temps en temps où Madame Kahlo exprime le pouvoir des femmes.

Un bras d’honneur tant elle se persuade d’être la seule, la vraie et tant elle bave d’une part en tartinant le papier quasiment une fois sur deux par le compte de ses milliers d’articles et de ses milliers de lecteurs et d’autre part en insultant avec une constance hargneuse les ceux qui ne disent pas comme elle.

Mais qui peut croire que par toute cette foison d’erreurs elle a fait avancer notre affaire ? Oui, qui ? A part elle et quelques naïfs ?

C’est l’heure de l’image.

Allégorie de la simulation ou La jardinière au masque de Lorenzo Lippi

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