De mal en pis

Ca me gonfle, mais ça me gonfle !!!

Mais il faut bien dire que tout cela est d’une niaiserie incommensurable !

Oui, cela fait cinq ans que je sais qu’il n’y a rien à tirer de Delangle . Oui, il y a cinq ans , j’avais cherché à savoir. Mais toutes ces informations n’étaient pas à notre disposition à cette époque. Il aurait fallu consulter sur place , à la BN , tous les journaux pour obtenir un résultat. Et , devant le bilan totalement négatif de l’aide attendue du dit Delangle, je n’avais pas insisté plus d’une demi-journée à chercher sur Gallica.

Comme notre autrice disait « recherche fortiche », j’ai , par jeu, lancé immédiatement une recherche sur Retronews, Gallica et bien-sûr Geneanet. Un heure de clic, une heure de clac et j’avais retrouvé ce que j’ai retranscrit avec humour.Mais sans plus d’intention.Sans autre arrière-pensée.

Quant à ces prétendues petites indications qu’en leur absence, j’aurais été dans l’impossibilité de faire ce travail, j’en suis encore à ma demander quelles sont-elles…

Votre angle d’attaque, Monsieur Du Ryez, est d’une maladresse…Aussi stupide que ces lignes sur Gallipoli qui se veulent si victorieuses . Et dont j’ai retenu le savoureux « Voila donc un détail résolu ». (Qu’est-ce qui est résolu ?) Si proche des « Circulez ».

Mes lignes « vite griffonnées » ( oui, c’est vrai j’écris assez vite mais aussi assez bref…) n’avaient que l’intention de montrer que Lolotte, en deux temps-trois mouvements, savait utiliser les ressources de Retronews. C’était ironique, j’en conviens.

Pour le reste, je vous rappelle que je vous avais averti lors de votre entrée en course dans l’arène impitoyable des « Seznocologues » Alors, venir faire les vierges effarouchées à ce jour…

Quant aux allusions de notre autrice sur «  la plus grosse », c’est d’une vulgarité !

Je ne citerai pas Borris Vian, mais pour conclure, mes enfants, je vous offre une image.

Drosophilie

4 commentaires sur « De mal en pis »

  1. Franchement Delangle a si peu d’importance ! Sauf s’il a été assez fin pour repérer Scherdin au 1 de la rue. Mais Scherdin habitait-il à cette adresse en 1923?
    Pouliquen écrit le 13 juin au Directeur des affaires judiciaires que son courrier a été réclamé à la poste le 26 mai. S’il écrit cette date c’est que c’est bien celle que lui a donné le préposé Begue. Pour lui c’est probablement une preuve du passage de Quéméneur à Paris le 26 mai. En tous cas on n’entend plus parler de Delangle. Et n’ayant plus d’autre nouvelles de son beau-frère depuis le 26 mai, il s’adresse à la Sûreté Générale.

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    1. Vous croyez qu’un mec un peu dérangé qui faisait feu sur la maîtresse de son frère plus d’une dizaine d’année au paravent aurait été assez fin pour enquêter comme ça ex abrupto, ex nihilo, sur un simple boîte aux lettre ?

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  2. Pourquoi perdre son temps? Aucun intérêt ce Delangle qui intervient après l’histoire. Et que fait il?, aller à l’adresse indiquée par Seznec où se trouverait Cherdly, à l’hotel ou Seznec dit que Quemener est descendu. Maitre Pouliquen avait il besoin à ce point de payer un détective privé pour trouver une adresse dans Paris? Bien sûr il sont allés trouver Ackerman, mais encore c’est Seznec qui a donné l’adresse… A moins que Maître Pouliquen en savait davantage et avait besoin de quelqu’un « du milieu » qui saurait aller à la pêche au renseignement. Mais s’il l’a fait, il n’en parle pas. On aurait bien aimé savoir quelles autres recherches il a pu faire.

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